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Communiqué de la Taskforce Culture : Culture vivante, bien entendu!
La CSM, en collaboration avec la Taskforce Culture, a diffusé un communiqué de presse hier :
«Le secteur culturel suisse se réjouit fondamentalement que les manifestations culturelles puissent de nouveau avoir lieu. Après un an sans arts vivants ni concerts, nous le savons: nous avons toutes et tous besoin de partager des moments de culture, et grâce aux concepts de protection, on peut les organiser sans crainte!
Lors de sa séance d’aujourd’hui, le Conseil fédéral a tenu compte du besoin urgent de la population en matière d’événements culturels. C’est gratifiant et important. Nous avons tous besoin de convivialité, de manifestations culturelles et de lieux de rencontre tels que des restaurants ou des bars.
Par conséquent, les événements réunissant 50 personnes à l’intérieur et 100 personnes à l’extérieur constituent une étape importante. Cependant, pour de nombreux organisateurs d’événements culturels, actrices et acteurs culturels ou agences, les mesures qui restent en vigueur signifient qu’ils ne peuvent toujours pas travailler ni gagner normalement leur vie.»
Veuillez trouver les détails dans le communiqué de presse ci-joint (f, d, it).
Zurich, le 9 avril 2021
Communiqué de presse de la Taskforce Culture
Ordonnance sur la culture Covid-19 : des améliorations ponctuelles pour les acteurs culturels, mais il reste quelques problèmes.
Les ajustements décidés le 31 mars, par le Conseil fédéral, dans son ordonnance sur la culture Covid-19 améliorent nettement la situation de nombreux acteurs culturels et doivent être généralement salués. Mais certaines revendications importantes n’ont pas été prises en compte, restent mal ou même non résolues. C’est ce qu’il ressort de la session de printemps, qui a satisfait quelques revendications centrales tout en négligeant de sérieux problèmes.
Le terme « indépendants » enfin inscrit dans la loi et l’ordonnance
Employés dont les contrats de travail à durée déterminée changent souvent – les indépendants sont courants dans le domaine culturel. Il est donc important que ce groupe de personnes soit reconnu et explicitement mentionné, autant dans la loi que dans l’ordonnance. La définition retenue par le législateur selon laquelle, pour être considéré comme « intermittent » il faut attester d’au moins quatre engagements à durée déterminée auprès d’au moins deux employeurs différents du secteur culturel depuis 2018, est défendable, même s’il peut arriver que différents emplois à durée limitée auprès d’un seul employeur soient liés à des projets sans que cela équivaille à un contrat en chaîne interdit. Il est donc logique que l’on se base sur les années 2018 et 2019 pour calculer l’allocation pour perte de gain.
Une allocation pour perte de gain rétroactive pour les acteurs culturels
Les allocations pour perte de gain destinées aux acteurs culturels ont été réintroduites le 18 décembre 2020 pour les dommages financiers subis à partir du 19 décembre 2020. La modification de l’ordonnance met en œuvre la rétroactivité décidée par le Parlement dans sa session de printemps : les allocations pour perte de gain peuvent être sollicitées pour la période d’indemnisation commençant le 1er novembre 2020. Les acteurs culturels pourront donc percevoir des allocations pour perte de grain, sans interruption, à partir de mars 2020, ce qui était déjà le cas pour les établissements culturels.
Des allègements concernant l’aide d’urgence via Suisseculture Sociale
Dans l’ensemble, les modifications de l’ordonnance sur la culture simplifient le traitement des requêtes, comblent de flagrantes lacunes et préviennent les refus contestables dans certains cas particuliers. Entre autres, dorénavant, la franchise sur les revenus se monte à 1 000 francs par mois. Seuls les biens dont le requérant ou la requérante peut librement disposer sont pris en compte dans l’examen du droit à l’allocation – l’immobilier lui appartenant n’en fait pas partie. De plus, la franchise sur la fortune va être légèrement augmentée à 60 000 francs ainsi qu’à 20 000 francs pour chaque enfant à charge. Au total, les personnes déjà confrontées à une situation financière très difficile vont bénéficier d’une amélioration substantielle de cet important instrument qu’est l’aide d’urgence.
La formation culturelle reste exclue
En revanche, la Task Force avait demandé que soit prise en compte la formation dans toutes les disciplines artistiques et qu’elle soit incluse dans les mesures de soutien à la culture : inexplicablement, cette revendication n’a pas été retenue. Ainsi, les personnes exploitant des écoles de danse privées, par exemple, mais aussi les ensembles de théâtre proposant des
Taskforce Culture c/o Suisseculture Kasernenstrasse 23 CH-8004 Zürich T +41 43 322 07 30 https://taskforceculture.ch taskforce@suisseculture.ch
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représentations en milieu scolaire continuent de passer entre les mailles du filet de toutes les mesures de soutien sans que cela soit objectivement justifié. La Confédération souligne au moins que les cantons ont la possibilité de combler cette lacune. Heureusement, à ce jour, quelques cantons ont reconnu ce besoin, mais il est évident qu’une solution à l’échelle nationale serait nécessaire et urgente. La formation de jeunes artistes en Suisse en est sérieusement menacée – de même que les nombreux établissements et professionnels de ce domaine.
Incertitude pour les organisateurs et questions ouvertes concernant le système d’aide
Soutenue par la Conférence des villes en matière de culture, la demande de compenser 100% des dommages effectivement reconnus des acteurs et établissements culturels et de supprimer dans l’ordonnance les plafonds cantonaux faussant la concurrence n’a pas été entendue. Cette négligence est incompréhensible du point de vue des établissements culturels, car les règlements actuels ne leur permettent pas de planifier des manifestations à l’avenir – l’impondérabilité financière et le manque de sécurité dans la planification sont trop importants.
Certes, un système d’aide pour certaines manifestations a été prévu dans la loi, qui pourrait compenser en partie l’insuffisance de l’allocation en cas de préjudice, mais pour l’instant, de nombreuses questions importantes restent sans réponse. Par exemple, la définition de l’expression « importance supracantonale » n’est pas encore clarifiée ; il en va de même pour le problème de devoir obtenir une autorisation cantonale au préalable alors que, normalement, celle-ci n’est délivrée que peu de temps avant la manifestation. On verra dans quelle mesure ce nouvel instrument apportera une véritable amélioration – malheureusement pour l’instant, il vaut mieux faire preuve d’un certain scepticisme et de la plus grande prudence entrepreneuriale lorsque reprendront les événements culturels. La question se pose notamment de savoir si tous les cantons collaboreront et si on ne risque pas de créer des différences indésirables dans la mise en œuvre. Enfin, reste à savoir si les cantons pourront intégrer au moins la moitié de ces dépenses supplémentaires dans leurs budgets restreints, comme le législateur le demande.
L’expiration des aides dans le secteur culturel se profile à l’horizon
Même si cela ne concerne pas l’ordonnance sur la culture et donc pas le secteur culturel : le fait est que l’allocation pour perte de gain ne sera versée aux indépendants que jusqu’au 30 juin, ce qui se traduira pour les personnes concernées par une grande insécurité. On peut d’ores et déjà prévoir qu’au début du second semestre, la normalité ne sera pas revenue dans le domaine culturel et qu’il sera absolument nécessaire de prolonger le droit de perception de l’allocation pour les indépendants.
Enfin, depuis la session de printemps, le Conseil fédéral a également la possibilité de prolonger la durée maximale du droit à l’indemnité de chômage partiel de 18 mois actuellement à 24 mois au maximum. Pour la Taskforce Culture, il est clair que le Conseil fédéral doit faire usage de cette option lors d’une prochaine réunion.
Pour les requêtes :
Entreprises culturelles : Stefan Breitenmoser, stefan.breitenmoser@smpa.ch, +41 79 355 05 79 Artistes : Christoph Trummer, christoph.trummer@sonart.swiss, +41 78 737 01 73
Suisse italienne : Cristina Galbiati, cristina.galbiati@tpunto.ch, +41 78 698 16 67
Les membres de la Taskforce Culture sont :
Olivier Babel (LIVRESUISSE), Stefan Breitenmoser (SMPA – Swiss Music Promoters Association), David Burger (MMFS – MusicManagersForum Suisse), Regine Helbling (Visarte – Association professionnelle des artistes visuels en Suisse), Liliana Heldner (DANSE SUISSE – Association suisse des professionnels de la danse), Christian Jelk (Visarte – Association professionnelle des artistes visuels en Suisse), Sandra Künzi (t. Professionnels du spectacle Suisse), Alex Meszmer (Suisseculture), Marlon Mc Neill (IndieSuisse – Association de labels musicaux et producteurs indépendants, SMECA – Swiss Media Composers Association), Jonatan Niedrig (PETZI – Fédération Suisse des clubs et des festivals de musiques actuelles), Nicole Pfister Fetz (A*dS – Autrices et auteurs de Suisse, Suisseculture Sociale), Rosmarie Quadranti (Cultura), Nina Rindlisbacher (CSM – Conseil Suisse de la Musique), Beat Santschi (USDAM – Union Suisse des Artistes Musiciens), Christoph Trummer (SONART – Association Suisse de Musique), Salome Horber (Cinésuisse – Association faîtière de la branche suisse du cinéma et de l’audiovisuel)
Dozent*in für praktische Pädagogik und Didaktik im Fach Gesang
Vorweg schon einmal einige unserer Pluspunkte
- Fokus auf praxisorientierter Forschung und der Ausbildung engagierter Menschen statt auf Gewinnmaximierung.
- Unkomplizierter Austausch auch über die Abteilungsgrenzen hinaus.
- Vielfältige Möglichkeiten, sich weiterzuentwickeln.
Was Sie hier tun
- Studierende im Master of Arts in Music Pedagogy im Fach Gesang Klassik fachdidaktisch und pädagogisch ausbilden und auf deren Unterrichtstätigkeit vorbereiten
- Arbeit im Team für fächerübergreifendes Lehren im Kontext Gesang Klassik, Oper und Jazz als Teil einer einzigartig transdisziplinären Kunsthochschule
- Bei der Weiterentwicklung des Studienganges mitwirken
- Als Dozierende des Fachbereichs Musik können Sie sich aktiv in Forschungsfeldern und in musikvermittlerischen Kontexten einbringen
- Die Probelektion findet am 2. Juni 2021 in Bern statt
Was Sie idealerweise mitbringen
- Erfolgreich abgeschlossenes Studium: Master of Arts in Music Pedagogy oder einen vergleichbaren Hochschulabschluss in Musikpädagogik
- Künstlerische und vokaltechnische Qualitäten, stilistische Offenheit, Reflexionsfähigkeit sowie didaktische und pädagogische Kompetenzen auf allen Stufen und Förderniveaus
- Künstlerische und vokaltechnische Qualitäten, stilistische Offenheit, Reflexionsfähigkeit sowie didaktische und pädagogische Kompetenzen auf allen Stufen und Förderniveaus
- Als Musikvermittler*in verfügen Sie zudem über einschlägige Erfahrungen im soziokulturellen Kontext einer Musikschule
- Gute Französischkenntnisse und digitale Lehrskills sind erwünscht
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J’ai le plaisir de vous faire parvenir ci-dessous la première édition de la newsletter de l’OFC avec des informations sur les mesures Covid-19 dans le secteur de la culture. Vous trouverez des informations sur les modifications de l’ordonnance COVID-19 culture adoptées aujourd’hui par le Conseil fédéral. Nous vous recommandons de vous abonner à la newsletter afin de recevoir à l’avenir les informations directement par l’OFC. Le newsletter sera publié à intervalles réguliers (f, it, d).
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Nina Rindlisbacher
Leiterin Geschäftsstelle Schweizer Musikrat SMR-CSM
Anfang der weitergeleiteten Nachricht:Von: Bundesamt für Kultur BAK <newsletter@bak.admin.ch>Betreff: Informationen zu den Covid-Massnahmen KulturDatum: 31. März 2021 um 16:13:37 MESZAntwort an: Bundesamt für Kultur BAK <newsletter@bak.admin.ch>
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Bundesamt für Kultur BAK
Informationen zu den Covid-Massnahmen Kultur
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Sehr geehrte Dame, sehr geehrter Herr
Mit diesem Newsletter Covid-19-Kulturmassnahmen möchte das Bundesamt für Kultur Sie über die neuesten Entwicklungen bei den Unterstützungsmassnahmen des Bundes informieren. Sie können den Newsletter über den folgenden Link abonnieren:www.bak.admin.ch/newsletter-covid19kultur. Regelmässige Informationen finden Sie auch auf unserer Website:www.bak.admin.ch/coronavirusDE
Änderungen der Covid-19-Kulturverordnung
Am 31. März hat der Bundesrat Änderungen der Covid-19-Kulturverordnung beschlossen, die die Bedingungen für den Zugang zu den Unterstützungsmassnahmen erweitern. Worum handelt es sich?
Ausfallentschädigungen für Kulturschaffende
Wie wurde der Schadenszeitraum geändert?
Die Ausfallentschädigungen für Kulturschaffende wurden am 18. Dezember 2020 für finanzielle Schäden ab dem 19. Dezember 2020 wieder eingeführt. Die Änderung der Verordnung setzt eine Rückwirkung um, die das Parlament in der Frühlingssession beschlossen hat: Die Ausfallentschädigungen können für den Schadenszeitraum ab dem 1. November 2020 beantragt werden. Die Kulturschaffenden können somit seit März 2020 ohne Unterbruch Ausfallentschädigungen erhalten, wie dies für die Kulturunternehmen bereits der Fall war.Welche Fristen gelten für die Gesuchseinreichung?
Für die Einreichung der Gesuche um Ausfallentschädigungen werden Zwischenfristen festgelegt. Kulturschaffende müssen Gesuche um Finanzhilfen für Schäden, die den Zeitraum zwischen dem 1. November 2020 und dem 30. April 2021betreffen, bis am 31. Mai 2021 einreichen.Wie wurde der Anspruch auf Entschädigung ausgeweitet?
Neu erhalten neben Kulturschaffenden mit Selbstständigenstatus auch Freischaffende, d. h. Kulturschaffende in befristeten Anstellungsverhältnissen, eine Ausfallentschädigung. Eine Entschädigung können diejenigen Freischaffenden erhalten, die seit 2018 mindestens vier befristete Anstellungen bei mindestens zwei Arbeitgebern im Kulturbereich nachweisen können. (Bei Langzeitabwesenheiten dürfen die Voraussetzungen herabgesetzt werden.)Nothilfe
Wie wurde der Anspruch auf Entschädigung ausgeweitet?
Die Berechnung der Nothilfe erfolgt angesichts des tatsächlichen Bedarfs unter Berücksichtigung der anrechenbaren Ausgaben und des anrechenbaren Einkommens sowie des Vermögens der oder des Kulturschaffenden. Folgende Neuerungen wurden mit der Änderung der Verordnung eingeführt:
- Die Vermögensgrenze für die Gewährung einer Nothilfe wurde von 45 000 Franken auf 60 000 Franken erhöht. Für jedes unterhaltspflichtige Kind wird diese Grenze neu um 20 000 Franken statt wie bisher um 15 000 Franken angehoben.
- Bei der Anspruchsprüfung wird neu nur das frei verfügbare Vermögenangerechnet. Namentlich alle Liegenschaften im Eigentum der Gesuchstellenden werden nicht mehr angerechnet. An das Einkommen angerechnet werden hingegen die Mieterträge aus diesen Liegenschaften.
- Um den Aufwand der Gesuchsprüfung zu reduzieren und die Entscheide zu beschleunigen, wurde einEinkommensfreibetrag eingeführt: Einkommen unter 1000 Franken pro Monat werden bei der Gesuchseingabe nicht berücksichtigt.
Vorschuss auf die Entschädigung
Wie ermöglicht die Änderung der Verordnung eine schnellere Liquidität?
Die Durchführungsstellen der Covid-19-Kulturverordnung (Kantone für die Ausfallentschädigungen, Suisseculture Sociale für die Nothilfe) können den Gesuchstellenden einen Vorschuss gewähren, falls 30 Tage nach Einreichung des Gesuchs noch kein Entscheid vorliegt.
Vereinfachte Verfahren werden beibehalten
Unabhängig von den Änderungen der Covid-19-Kulturverordnung werden die folgenden vereinfachten Verfahren, die in den letzten Wochen in Zusammenarbeit mit den Kantonen und Suisseculture Sociale eingeführt wurden, beibehalten:
Für Kulturschaffende, die Anspruch auf einen Corona-Erwerbsersatz von weniger als CHF 60 haben, können die Kantone und Suisseculture Sociale ein vereinfachtes Verfahren anwenden, indem sie den Antrag auf Ausfallentschädigung oder Nothilfe direkt bearbeiten. Diese Vereinfachung gilt auch für Kulturunternehmen, die eine Ausfallentschädigung von weniger als 5000 CHF beantragen. In diesen Fällen können die Antragsteller keine weiteren COVID-Hilfen des Bundes beantragen.
Schutzschirm für Anlässe von überkantonaler Bedeutung – Einzelheiten in Erarbeitung
Am 19. März 2021 hat das Parlament eine Änderung des COVID-19-Gesetzes (Nr. 1, Art. 11 a Abs. 1) verabschiedet, die Folgendes besagt: «Der Bund kann sich auf Gesuch hin an nicht gedeckten Kosten von Veranstaltern von Publikumsanlässen von überkantonaler Bedeutung zwischen dem 1. Juni 2021 und dem 30. April 2022 beteiligen, die über eine kantonale Bewilligung verfügen und die im Zusammenhang mit der Bewältigung der Covid-19-Epidemie aufgrund behördlicher Anordnung abgesagt oder verschoben werden.»
Die Details der Umsetzung dieser neuen Bestimmung werden derzeit unter der Verantwortung des SECO ausgearbeitet. Die Ausfallentschädigung für Kulturunternehmen wird weiterhin gelten.
Mit freundlichen Grüssen,
Bundesamt für Kultur (BAK)
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